Secrets d’Investisseurs : Laurent Dévoile ses Astuces à Julien

Dans le monde de l’investissement, partager ses découvertes et ses habitudes peut être une véritable source d’inspiration pour d’autres. Récemment, j’ai eu le plaisir de m’entretenir avec Julien Thomasson, un passionné de finance, pour discuter avec lui des clés du succès en bourse. Ensemble, nous avons exploré des sujets essentiels, allant des stratégies d’investissement à l’importance de la psychologie de l’investisseur. Dans cette interview, je dévoile mes expériences personnelles et les pratiques qui ont façonné mon parcours d’investisseur. Préparez-vous à découvrir des insights qui pourraient transformer votre approche de l’investissement !

Julien : Alors, ça m’intéresse ce que tu disais là sur le momentum, en gros profiter du momentum.

Laurent : Le momentum, c’est une des stratégies parmi toutes celles qui sont disponibles. L’avantage, c’est qu’elle est très simple à mettre en œuvre. L’idée, c’est d’avoir en un seul coup d’œil une vision claire de ce qu’on veut faire. On n’a pas besoin de regarder les graphiques. On a une stratégie, on l’applique, on prend les meilleurs et c’est une stratégie qui a fait ses preuves. On appelle ça « les meilleurs chevaux » et on prend simplement les meilleurs. Ça peut être avec des ETF, des actions, des cryptos, et on surfe simplement sur la vague des meilleurs.

Julien : Et toi, concrètement, tu utilises ça sur quels ETF, quelles actions ?

Laurent : Alors, j’ai une liste d’ETF. J’ai du S&P 500, du Nasdaq, des ETF sur l’immobilier. Une des stratégies consiste à dire : chaque mois je regarde lequel performe le mieux. Très souvent, ça reste le même. Donc l’avantage de cette stratégie, c’est qu’on fait très peu de transactions, ce qui réduit les frais. L’autre avantage, c’est que lorsqu’on vend, on fait finalement peu de plus-values, donc on est peu imposé. Cette stratégie peut être appliquée sur un compte-titre, mais aussi sur un PEA, ce qui permet de bénéficier d’avantages fiscaux.

Julien : Ah ouais, carrément. C’est top. Patricia écoute les conseils avec attention aussi, je vois.

Top. Et justement, par rapport au PEA, est-ce que tu appliques la même méthode pour investir dans un compte-titre et dans un PEA ? Ce n’est pas la même enveloppe fiscale, donc peut-être que tu as une approche un peu plus long terme sur le PEA ?

Laurent : Pas forcément. J’applique les mêmes stratégies. Je n’ai pas une seule stratégie, j’en ai plusieurs. Appliquer une ou plusieurs stratégies dépend du capital et du temps qu’on souhaite consacrer. L’idée, c’est de faire travailler l’argent, et non pas de travailler pour lui. Parfois, il y a des opportunités sur certaines actions qui ne sont pas forcément liées au momentum, mais à des configurations particulières d’entreprises en pleine expansion. Dans ce cas, je prends des positions. Sur le PEA, on est limité à certains titres, mais les frais sont largement compensés par la fiscalité avantageuse.

Julien : Oui, c’est clair. Et qu’est-ce qui t’a donné envie de t’intéresser à la Bourse ? Est-ce que tu as commencé jeune avec un PEA, peut-être à 20 ans, ou est-ce que c’est venu plus tard, quand tu avais monté ta société et que tu avais plus d’argent à investir ?

Laurent : J’ai toujours été passionné par la Bourse. Malheureusement, j’ai mis du temps avant de me former, et c’est ma plus grosse erreur. Le meilleur conseil que je peux donner aux investisseurs, c’est de se former. Si je devais donner un seul conseil, ce serait celui-là : formez-vous. Éventuellement, téléchargez ma formation gratuite, c’est une bonne première étape.

Julien : Oui, c’est clair. On peut regarder des vidéos, lire des livres, mais la formation, c’est ce qui permet de passer à l’action et d’acquérir des astuces concrètes. Julien : J’ai mis le pied à l’étrier grâce à ça et je regrette une seule chose, comme tu l’as dit, c’est de ne pas l’avoir fait plus tôt. Toi, tu as commencé comment ?

Laurent : En fait, j’ai suivi plusieurs formations.

Julien : Ok, et donc à chaque formation, tu as appris des nouvelles choses ?

Laurent : Oui, exactement. Parce que dans les différentes formations, il y a différentes approches. Il y a des choses qui sont plus ou moins bien, et il y a des choses que j’ai trouvées un peu insuffisantes. C’est pour ça que je me suis créé des outils pour m’aider et me simplifier la tâche, parce qu’il y avait souvent du flou dans leurs règles. Ce que je voulais, c’était quelque chose où je sache vraiment précisément ce que je dois faire. Je ne voulais pas dire : « Bah, le stop, tu le mets à peu près là. » Mais le « à peu près », c’est quoi ? Il y a des manières de calculer vraiment quelque chose de précis. Ce n’est pas le prix moins 10 centimes, ce n’est pas le plus bas moins 10 centimes, parce que suivant le prix, il faut prendre en compte la volatilité. Ce que j’ai fait, c’est des outils où on n’a pas besoin de réfléchir. On n’a pas besoin de prendre une feuille Excel pour calculer combien d’actions je dois prendre. Je veux que ce soit affiché à l’écran, en fait, simplement.

Julien : D’accord. Et quand tu parles de tes outils, qu’est-ce qui fait qu’on n’a pas besoin de réfléchir ? Parce que déjà, est-ce qu’ils sont adaptés à tout le monde ? Est-ce qu’un jeune de 20 ans ou quelqu’un de 50 ans qui a un peu plus d’expérience peuvent utiliser tes outils sans avoir à réfléchir ?

Laurent : Tout le monde peut utiliser mes outils. Après, c’est une question de temps qu’on veut y consacrer. J’ai des outils de trading automatique où là, on a juste à faire un copier-coller, on met en place les outils, et là, il n’y a pas besoin de connaissance. Éventuellement, j’assiste les personnes. Si vraiment elles ne savent pas faire un copier-coller, je peux les aider à le faire. Mais voilà, il n’y a rien à faire après.

Il y a des stratégies simples où, quand on a 20 ans, la stratégie, ça va être de dire : « Bah écoute, si vraiment tu ne sais pas quoi faire, achète tous les mois du S&P 500, achète un ETF ou un ETF World. » Donc là, n’importe qui peut le faire. Mais par contre, on est sur un horizon de temps de quelqu’un qui a 20 ans et qui est capable de se prendre des craquements boursiers pendant 20 ans, parce qu’un crack boursier, il y en aura un. Je peux vous le dire.

Voilà, je vous le dis. Ta boule de cristal, elle ne te dit pas, mais c’est clair. Je ne dis pas qu’il y en aura tous les 15 ans.

Là, on est quand même un peu perchés à mon avis, mais je ne prévois pas le crack pour la semaine prochaine.

Julien : On ne donnera pas la date de la vidéo comme ça, ça va bien se passer. Dis que c’est dans une semaine et dans tous les cas, tu auras toujours raison.

C’est ça. Non mais je vois ce que tu veux dire, c’est clair. D’ailleurs, ça, c’est au cygne noir, c’est le cygne noir. Je ne sais pas si tu as lu ce livre.

Ok, bon, ce n’est pas grave. Mais en gros, c’est un livre qui parle du signe noir, pas le signe si, mais le signe noir, tu vois. Donc, il y en a toujours un qui n’est pas de la même couleur que les autres, et tu ne prévois pas les événements qui peuvent se produire. Le COVID, on avait du mal à le prévoir. On sait que ça va arriver, mais alors…

Comme l’explique Nassim Nicholas Taleb dans son livre ‘Le Cygne Noir’, les événements imprévisibles peuvent avoir un impact considérable sur nos vies. Pour en savoir plus sur ce concept, je vous invite à consulter la page Wikipédia consacrée au livre : . Si vous souhaitez acquérir l’ouvrage, vous pouvez le trouver sur Amazon

Laurent : Bizarrement, avant le COVID, j’ai un indicateur qui permet de détecter la faiblesse de volatilité. Généralement, quand cet indicateur passe au rouge, c’est avant le crash. Et justement, si on regarde ce fameux indicateur juste avant le COVID, il était rouge sur les six indices. Et moi, ce que je fais, c’est que lorsque je veux investir, la première chose que je regarde, c’est l’état des marchés. Et l’état des marchés, ce n’est pas forcément que la tendance est baissière, c’est qu’il y a une faiblesse sur les six indices. Généralement, quand c’est sur les six indices, il y a cette alerte. Et ça se produit à chaque fois.

Ça ne veut pas dire qu’il y a un crack à chaque fois que les six sont rouges, mais les probabilités sont fortes. Et ça s’est vérifié très souvent.

Julien : Et toi, dans ce cas-là, tu fais quoi une fois que tu détectes ces signaux ?

Laurent : Je protège mes positions et je ne vais pas chercher de position à l’achat. Éventuellement, je vais chercher à investir, à faire un pari. Il y a un ETF qui permet de parier à la baisse, c’est le BX4. Ou qui permet de parier, alors il y a aussi sur d’autres indices, hein, mais on peut parier sur une baisse du CAC avec un levier de deux. C’est-à-dire que si le CAC perd 1 %, l’ETF en gagne de deux.

Laurent : Ce n’est pas un ETF qu’il faut conserver, hein. C’est un ETF où, quand il y a un crack, on peut éventuellement faire un pari avec une somme raisonnable de son portefeuille.

Julien : Ok, voilà. Le BX4, c’est ça.

Je regarderai ça. Je t’avoue que je n’ai pas trop regardé ça encore, mais investir uniquement quand la tendance est bonne, quand il y a des élections, et que les élections sont mitigées, la bourse n’aime pas ça. Ça va arriver bientôt, là, il va y avoir des choses à faire en termes au niveau des élections américaines.

Laurent : Ah oui, alors je parlais pour le CAC, je parlais même pour les élections françaises.

D’accord, ou pour les élections américaines. C’est difficile de prévoir ce qui va se passer. Par contre, quand il y a de l’incertitude, comme il y a eu en France, il y a eu de l’incertitude sur est-ce que c’est l’extrême gauche qui va passer ou l’extrême droite qui va passer ? Ça, la bourse n’aime pas. La bourse n’aime pas les extrêmes gauches et les extrêmes droites. Elle aime bien la droite modérée, le centre. Elle aime bien que ça ne bouge pas trop.

Julien : Ouais, Macron, c’est très bien. Ça, c’est de la stabilité pour la bourse.

Laurent : Pour la bourse, c’est clair. Je vois.

Julien : Et tu vois, tout ce que tu dis là, ça me fait penser évidemment à un thème qui est très important lorsqu’on parle d’investissement, c’est la psychologie. La psychologie de l’investisseur. Est-ce que dans tes formations, dans tes outils, tu abordes la psychologie ? Est-ce que les gens qui suivent ta formation, par exemple, vont être redirigés vers tel ou tel investissement en fonction de leur psychologie ?

Laurent : Exactement, c’est essentiel. La psychologie, et le cœur de la psychologie, c’est sur quel horizon on est prêt à placer. Si on a besoin de l’argent pour la semaine prochaine, je veux vous dire que le meilleur placement, ce n’est même pas dans la bourse, c’est le Livret A. Je sais que je vais. Il n’y a aucun youtubeur qui recommande le Livret A. Moi, je vous dis, si vous voulez de l’argent pour la semaine prochaine, le mois prochain, ou même l’année sous un an, c’est le Livret A. Et de toute façon, c’est un bon plan d’avoir de l’argent sur le Livret A, même si on perd avec l’inflation, parce que l’argent est disponible tout de suite. Il n’y a pas de crack boursier, etc. Alors, ce n’est pas avec ça que vous allez devenir riche, vous allez même vous appauvrir avec le Livret A, mais si vous avez un horizon inférieur à deux ans, c’est le Livret A. À partir de deux ans, il y a des choses beaucoup plus intéressantes qu’on peut faire en mode complètement passif. On peut faire du 8 % par an. Mais il faut deux ans, parce qu’on peut se prendre un petit peu de risques.

La transcription est en cours de rédaction. Si vous souhaitez la découvrir dans son intégralité, je vous invite à me laisser un commentaire pour demander la suite, et à revenir la semaine prochaine. En plus d’améliorer votre karma boursier, vous pourrez profiter d’un accès privilégié à l’application en avant-première !